Cet outil de psychologie positive, validé par l’enseignement universitaire médical, permet de modifier sa posture mentale face à des situations générant un stress important.
Le fait de travailler à la fois avec les personnels de santé et les patients part d’un constat d’un effet de stress en cascade : le soignant se sent épuisé, débordé, gère de moins en moins bien les situations, se stresse plus encore et de fait, involontairement devient à la limite de la maltraitance ( propos rapportés par les soignants eux-mêmes et les directeurs d’institutions).
De ce fait les patients, déjà sensibilisés médiatiquement par des situations de crise dans la santé se sentent vulnérables face à des soignants, qui sont moins disponibles, devenant ainsi encore plus demandeurs, aggravant ainsi la charge de travail existant, etc… Devant ce contexte, les aidants se retrouvent dans un sentiment d’impuissance, devenant plus exigeant encore face aux services de santé.